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La meilleure spiruline au monde : critères et comparatif

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Si vous cherchez la meilleure spiruline au monde, sans tomber dans le piège d’un marketing douteux ou d’une poudre verte au goût de marécage, vous êtes au bon endroit. C’est une question qu’on me pose très souvent au studio (et aussi en randonnée, comme s’il y avait un lien secret entre la quête du sommet et celle de l’algue parfaite !). Trouver une spiruline de qualité, c’est éviter la déception – et respecter son corps autant que la planète. Je vous partage mes astuces, mes critères coups de cœur… et même quelques gourmandises inattendues pour sublimer cette petite merveille bleue-verte dans vos assiettes.

Pourquoi une « meilleure spiruline » ? Le problème d’un marché saturé

Quand on débarque dans le rayon des compléments alimentaires, l’offre est pléthorique. Tablettes, poudres, comprimés, ici bio, là d’Asie, en passant par le bassin camarguais… Difficile de s’y retrouver. Personnellement, la première fois que j’ai voulu tester la spiruline, j’ai été complètement perdue. Et puis, après avoir goûté une marque bon marché, mon estomac a aussi été littéralement… perdu (petite pensée à ce smoothie du dimanche dont j’ai préféré oublier la couleur et l’odeur).
Au fond, la vraie problématique c’est que la qualité de la spiruline varie énormément. Entre les promesses marketing, la provenance obscure, les différences de goûts, ou le taux de phycocyanine qui fait le yo-yo, il est facile de se tromper. Et si on ne fait pas attention, on risque d’acheter un produit qui manque de nutriments – voire qui contient des substances pas très sympa pour notre santé !

Les dangers cachés d’une spiruline bas de gamme

On ne le dira jamais assez : la spiruline absorbe tout ce qu’il y a dans son environnement. Un peu comme une éponge pour poissons (oui, image étrange, mais imaginez mon fils de 3 ans sortant innocemment une spiruline d’un bocal… expérience maison à ne pas reproduire !). Cela signifie qu’une spiruline cultivée dans une eau polluée, ou avec des additifs douteux, sera potentiellement source de métaux lourds ou de toxines. Ce n’est malheureusement pas rare.

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Et puis, il y a la question du goût. On vous vend du rêve, et vous vous retrouvez à masquer votre complément sous trois couches de jus de pomme et de banane, juste pour essayer de l’avaler… Ce n’est ni agréable ni durable pour instaurer une routine bien-être.

Les critères indispensables pour choisir la meilleure spiruline (et éviter les mauvaises surprises)

Origine et traçabilité : où est née votre spiruline ?

Premier point-clé : l’origine géographique. Je privilégie les petites fermes françaises, ou européennes, qui affichent leur circuit court et leurs méthodes de culture. L’idéal ? Savoir précisément d’où vient votre spiruline, comme pour les fruits du marché. À Annecy, on a la chance d’avoir quelques producteurs locaux connus pour leur transparence (je vous glisse un peu plus bas une adresse coup de cœur !).

La méthode de culture

Bon, là j’avoue, j’aime bien jouer les détectives ! Les bassins ouverts permettent une culture plus naturelle, mais il faut une surveillance totale pour éviter toute pollution. Les systèmes fermés (« photobioréacteurs ») ressemblent un peu à un laboratoire futuriste, mais ils permettent un contrôle strict : solution idéale pour limiter les contaminants. Dans tous les cas, on veut de la spiruline pure, sans saletés chimiques ni probiotiques indésirables.

Une spiruline certifiée biologique – le vrai faux débat

*Certification bio* : on l’affiche partout, mais est-ce toujours un gage absolu de qualité ? Pour être honnête, c’est un repère important, notamment pour garantir qu’il n’y a ni pesticides ni engrais chimiques. Mais une ferme artisanale, qui n’a pas forcément la certification européenne faute de moyens mais qui cultive en mode ultra-propre, ça existe aussi. Lisez bien les étiquettes et, si possible, demandez toujours un certificat d’analyse (un vrai plus pour les marques sérieuses !).

Le taux de phycocyanine, la superstar bleue

Cette jolie molécule bleue, qu’on retrouve parfois sur nos mains après avoir renversé la boîte (oui, c’est du vécu…), c’est LA marque de la qualité. Plus il y en a, mieux c’est : 15 % minimum, idéalement 18 % à 20 %. Pourquoi c’est important ? Parce que la phycocyanine, c’est ce qui donne ses vertus antioxydantes et énergisantes à la spiruline. Un taux élevé, c’est donc synonyme de puissance nutritionnelle (et un joli bleu dans vos smoothies, bonus anti-grisaille !).

Séchage à basse température & forme galénique : poudre, paillettes ou comprimés ?

Je reçois souvent cette question en atelier. La vérité, c’est que le séchage à basse température (< 42°C) préserve tous les nutriments et la saveur. Les spirulines industrielles, elles, passent par des séchoirs à haute température : résultat, une algue « cuite », fade, dont une bonne partie des vitamines sont perdues.

Pour la forme, c’est avant tout une question de goût et d’habitude. Les paillettes sont moins traitées, ont souvent un goût plus doux, et se prêtent super bien aux recettes maison (avocado toast à la spiruline, testez, vous m’en direz des nouvelles…). Les comprimés sont bien plus pratiques, surtout en déplacements. Quant à la poudre, elle s’invite volontiers dans les smoothies… et sur les bras de mon petit dernier après « expérience créative » dans la cuisine.

Comparatif des meilleures spirulines (selon mes critères… et mes papilles)

J’ai eu la chance de tester pas mal de références, entre achats en ligne, commandes à la boutique bio, visites de fermes ou échanges avec la merveilleuse communauté Orsca. Voici un petit tableau comparatif, pour vous aider à voir plus clair :

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Marque / Producteur Origine Certification Bio Forme Teneur phycocyanine (%) Procédé de séchage Gamme de prix / 100g Note personnelle
(sur 5 étoiles)
La Spiruline des Alpes France (Haute-Savoie) Oui Paillettes, poudre, comprimés 18-19 % Basse température 25 – 30 € 5
Flamant Vert Tchad / Inde Oui Poudre, comprimés Env. 16 % Basse température 18 – 22 € 4
Nutri&Co France Oui Comprimés 15-17 % Basse température 15 – 20 € 4,5
FutuNatura Europe Oui Poudre, paillettes, comprimés Non précisé Non précisé 15 – 20 € 3,5
Sevenhills Inde Oui Poudre ~16% Basse température 12 – 15 € 3
Spiruline artisanale Camargue France (Camargue) Ferme certifiée Paillettes 18-20 % Basse température 28 – 32 € 5
Marcus Rohrer Hawaï Non Gélules Non précisé Haute température 30 – 35 € 2
Comparatif de spirulines : qualité, origine, certification, prix. Les valeurs sont indicatives – vérifiez toujours les derniers tests/labos sur les sites officiels ou auprès des producteurs locaux.

Mon top 3 « citron-verveine »

  • Spiruline des Alpes : la petite perle locale, goût doux et texture agréable, livraison rapide (si on habite dans la région, un vrai plus !).
  • Nutri&Co : parfaite en comprimés, traçabilité impeccable, pratique au quotidien.
  • Flamant Vert : valeur sûre pour ceux qui préfèrent la poudre, gamme bio avec bons retours sur la teneur en phycocyanine.

Un conseil : achetez en petites quantités d’abord. Une fois, emportée par l’enthousiasme, j’ai commandé 500g d’une marque exotique… j’ai regretté chaque matin au moment du shaker. Mieux vaut tester, comparer, et choisir ce qui VOUS correspond !

Comment bien consommer la spiruline (sans grimacer à chaque gorgée)

Idées simples et recettes gourmandes

Ne fuyez pas : la spiruline bio de qualité peut devenir un vrai plaisir – même pour les sceptiques comme mon mari, qui m’a regardée bizarrement la première fois que j’ai proposé un “pesto vert-algue” (oui, ça existe, et c’est délicieux !). Mes astuces :

  • Dans un smoothie du matin : banane + épinards + spiruline + citron (et un peu de gingembre – vive le pep’s au réveil !)
  • En paillettes sur une tartine d’avocat ou dans un houmous maison – mon fils adore en saupoudrer un peu partout (avec plus ou moins de succès esthétique…)
  • Mélangée à un yaourt nature avec des graines de chia et des fruits frais
  • Pesto de spiruline : basilic, spiruline, huile d’olive, un soupçon d’ail, mixez le tout ! Sur des pâtes ou juste à la cuillère

Allez-y progressivement : commencez par 1g par jour, puis augmentez jusqu’à 3 à 5g selon vos besoins. Écoutez toujours votre corps. Et rappelez-vous : l’accompagnement par un professionnel de santé reste LA valeur sûre, surtout si vous êtes enceinte, allaitante, ou que vous avez des pathologies chroniques.

Les bienfaits attendus… et les résultats qu’on ne vous raconte pas

On associe souvent spiruline et super-pouvoirs, mais soyons réalistes : la meilleure spiruline n’est pas un élixir magique qui vous donne des muscles en 15 jours. Cependant, si elle est de très bonne qualité, vous pouvez sentir :

  • Une meilleure vitalité au quotidien (j’ai remarqué la différence les matins où j’enseignais deux séances de yoga à la suite… sans la pause café d’urgence !)
  • Un effet « détox douce » lors des changements de saison
  • Une chevelure et des ongles plus résistants (adieu la casse après l’hiver, bienvenue cheveux brillants au printemps !)
  • Un soutien pour le tonus musculaire, surtout si vous pratiquez régulièrement un sport (mes participantes en randonnée-yoga en parlent souvent au retour du sentier)
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Bref, rien d’instantané ni de miraculeux, mais un petit plus jour après jour, comme un fond sonore bienfaisant pour votre vitalité.

Spiruline et éthique : consommer mieux, pour soi… et pour la planète

J’y tiens : privilégier un complément alimentaire issu de producteurs engagés, c’est soutenir une démarche écologique, respectueuse des écosystèmes. Certaines fermes locales recyclent même l’eau de culture, utilisent des énergies renouvelables… et ouvrent leurs portes pour expliquer leur travail. Essayez, si vous en avez l’opportunité, de visiter une ferme lors d’un week-end : c’est pédagogique pour les enfants (et pas que ! Ma fille a déclaré vouloir « devenir spirulinologue » – pas sûr que le mot existe, mais j’ai adoré l’idée).

Et maintenant, comment passer à l’action ?

Peut-être qu’à ce stade, vous hésitez encore à sauter le pas, ou alors vous avez déjà une boîte de spiruline pleine d’espoir dans un tiroir. Allez-y doucement. Goûtez. Testez plusieurs formes. Notez ce que vous ressentez au fil des jours. Et, surtout, faites-vous confiance : votre corps vous dira s’il aime ou pas.
Je serais ravie d’échanger sur vos découvertes, vos marques préférées ou vos recettes ! Dites-moi, vous êtes plutôt team smoothie vert ou tartine spiraline ? Et si cet article vous a aidé, partagez-le autour de vous. Ensemble, on avance, un petit pas et une pincée de spiruline à la fois !

FAQ : Tout ce que vous m’avez demandé (ou presque !) sur la spiruline

Qu’est-ce que la spiruline ?

La spiruline est une micro-algue d’eau douce (en vrai, c’est une cyanobactérie, mais promis, c’est plus sexy à dire “algue”). Ultra-riche en protéines, fer, antioxydants, vitamines… et, pour la petite anecdote, utilisée par les Aztèques il y a des siècles. Sa couleur bleu-vert vient justement de la phycocyanine – une vraie star dans le monde du bien-être !

Quels sont ses bienfaits principaux ?

La spiruline est réputée pour booster la vitalité, soutenir l’immunité, favoriser la récupération après l’effort, et améliorer la beauté de la peau et des cheveux. Personnellement, c’est l’effet “coup de fouet” en période de fatigue que j’apprécie le plus ! Attention cependant, les effets varient selon chaque organisme.

Y a-t-il des risques ou contre-indications ?

La spiruline est en général très bien tolérée (ici, je parle d’expérience familiale !), mais certaines personnes peuvent mal la digérer au début (lourdeurs d’estomac, ballonnements). Évitez en cas de phénylcétonurie, maladies auto-immunes, problème de goutte ou grossesses à risque. Un doute ? Demandez toujours un avis médical avant de commencer.

Quelle est la meilleure forme : paillettes, poudre, comprimés ?

La meilleure spiruline pour vous sera… celle que vous prenez avec plaisir et régularité ! Les paillettes sont les plus douces en goût, idéales à saupoudrer. Les comprimés sont incassables en voyage. La poudre se glisse partout, mais a parfois un goût plus marqué. Testez, vous verrez vite celle qui vous plaît le plus (et si vos enfants chipent dans le bocal, c’est bon signe !).

Comment bien conserver sa spiruline ?

Gardez-la dans un bocal bien fermé, à l’abri de la lumière et de l’humidité. Pas besoin de frigo, juste évitez les variations de température. Une spiruline bien stockée garde toutes ses qualités plusieurs mois. Un conseil d’expérience : inscrivez la date d’ouverture sur le pot pour suivre sa fraîcheur !

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Genou qui claque : quand faut-il consulter un médecin ?

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Le genou qui claque, ce bruit sec ou ce petit craquement qui surgit parfois sans prévenir… Qui n’a jamais ressenti ce drôle de clic en se levant du canapé ou en descendant les marches ? Rassurez-vous, ce phénomène est bien plus courant qu’on ne le pense. Mais faut-il s’inquiéter ? Je vous propose de faire le point ensemble, en toute simplicité et sans tabou — comme si on échangeait autour d’une tisane sur la terrasse, avec vue sur le lac. Et si comme moi, vous avez déjà eu un genou farceur après un footing ou une virée rando, cet article est là pour vous guider, pas à pas.

Pourquoi mon genou fait-il ce bruit étrange ?

On parle souvent de “genou qui claque” ou de craquements du genou, parfois également de sensations de frottement ou de petits bruits secs. Dans la plupart des cas, ce phénomène est sans gravité. Pour certains, ça ressemble à une bulle de gaz qui éclate ; pour d’autres, à un vieux parquet qui proteste. Mais d’où viennent vraiment ces sons ?

Les causes les plus fréquentes des bruits de genou

  • Mouvements normaux de l’articulation : Le genou est une articulation complexe, pleine de petites structures qui glissent. Parfois, simplement en se pliant ou en s’étirant, des bulles d’air présentes dans le liquide synovial éclatent. Ce sont souvent ces “pops” inoffensifs.
  • Légers déséquilibres musculaires : Après une grosse journée ou un effort inhabituel, les muscles et les tendons autour du genou peuvent tirer un peu plus d’un côté que de l’autre. Résultat : claquement ou sensation de “ressaut”.
  • Petites irrégularités du cartilage : Avec le temps (ou la répétition de certains gestes), le cartilage du genou peut légèrement s’user. Rien d’alarmant, mais cela peut générer quelques bruits lors des mouvements.

Je me rappelle encore la première fois que ça m’est arrivé après avoir testé une nouvelle posture de yoga à genoux dans le jardin. Un clac bien sonore, suivi d’un grand moment de solitude… puis rien. Finalement, tout s’est bien passé !

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Quand s’inquiéter d’un genou qui claque ?

Tout bruit n’est pas mauvais signe ! Pourtant, il y a des situations où il faut lever l’oreille (jeu de mots facile, je sais…). Si un genou qui craque reste isolé, sans autre symptôme, c’est généralement sans gravité. Mais certains symptômes associés doivent amener à consulter :

  • Douleur persistante ou intense : Si le bruit s’accompagne d’une vraie gêne, voire de douleurs à la marche, au repos ou la nuit, mieux vaut consulter.
  • Gonflement du genou : Un genou qui grossit, chauffe ou limite la mobilité cache souvent une inflammation ou un problème mécanique.
  • Blocage ou instabilité : Impossible de plier ou d’étendre la jambe ? Impression soudaine que le genou lâche sous votre poids ?
  • Raideur articulaire : Le genou ne se plie plus comme avant, ou bien il est coincé au réveil.
  • Signes d’infection : Rougeur, chaleur locale, fièvre : dans ce cas, il faut consulter sans tarder.

Pour l’avoir vécu dans une version “soft”, après une randonnée au Semnoz (quand j’ai voulu suivre mes enfants dans la descente… mauvaise idée), j’avais le genou un peu raide et gonflé. Une pause et quelques compresses d’arnica plus tard, tout est rentré dans l’ordre. Si le problème avait persisté, direction le médecin !

Genou qui claque et douleur : quelles solutions ?

Bonne nouvelle : dans la plupart des cas, il existe plusieurs moyens simples d’apaiser un genou qui claque ou craque. Le secret, c’est d’écouter son corps et de ne pas forcer. Voici quelques pistes testées (et approuvées à la maison) pour limiter les désagréments, et retrouver rapidement le plaisir de bouger.

Adopter les bons gestes au quotidien

  • Échauffez-vous vraiment : Avant toute activité physique, même modérée, prendre 5 minutes pour s’échauffer change tout. Un genou “à froid” craque bien plus facilement !
  • Renforcez les muscles autour du genou : Des quadriceps toniques, des ischio-jambiers souples, voilà la meilleure “assurance anti-craquement”. (Petite fierté perso : Ma grand-mère de 82 ans fait encore ses relevés de genoux tous les matins, juré  !)
  • Soulagez l’articulation : Évitez de porter de lourdes charges sans adapter votre posture. Privilégiez les sacs à dos au lieu de tout porter sur un seul côté (je parle d’expérience en revenant du marché d’Annecy… les bras chargés de légumes !).

Yoga et exercices doux pour accompagner le genou

Vous le savez, j’aime proposer des alternatives naturelles et accessibles. Quelques postures de yoga — réalisées sans excès et sans douleur, bien sûr — peuvent aider à améliorer la souplesse et la stabilité du genou :

  • La posture du guerrier II (Virabhadrasana II) : Elle sollicite doucement l’articulation tout en renforçant les muscles des jambes et la proprioception.
  • La chaise (Utkatasana) : Pour travailler les muscles fessiers et renforcer le soutien du genou sur la durée.
  • L’étirement du mollet contre un mur : Un classique que j’utilise souvent en fin de séance, pour relâcher les tensions dans la chaîne postérieure.

Petit conseil perso : Parfois, il suffit d’ajuster un peu l’alignement de vos pieds ou de plier moins profondément pour dire adieu aux craquements  ! Le corps sait se faire entendre… à condition d’écouter attentivement ce qu’il nous raconte.

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Les alternatives naturelles en soutien

  • Compresses de plantes : Arnica, huile essentielle de gaulthérie ou cataplasme d’argile verte peuvent calmer les petites douleurs.
  • Compléments alimentaires : La glucosamine ou le collagène marin sont parfois utilisés en prévention, mais n’oubliez jamais de demander un avis médical avant de commencer.
  • Alimentation anti-inflammatoire : Beaucoup de fruits et légumes, des oméga 3, et quelques épices comme le curcuma ou le gingembre. (Chez nous, le “lait d’or” au curcuma est une star à la première douleur articulaire… même si les enfants préfèrent le chocolat chaud !)

Bilan médical : quand le genou réclame un expert

Si malgré tous vos essais, le genou continue de “chanter” un peu trop fort, ou si la douleur s’installe, l’avis d’un professionnel devient incontournable. Le médecin peut, selon les symptômes  :

  • Prescrire des examens d’imagerie : Radiographies, IRM ou échographie, pour vérifier le cartilage, les ménisques ou les ligaments.
  • Proposer une échographie ou une ponction : Surtout en cas d’épanchement ou de suspicion d’infection.
  • Conseiller une rééducation adaptée : Des exercices ciblés, éventuellement avec un kiné spécialisé dans les pathologies du genou.
Symptôme associé Trouble possible Professionnel à consulter Prix moyen consultation (France)
Douleur après un effort Irritation du cartilage, inflammation Médecin généraliste / Rhumatologue 25–60 €
Gonflement soudain Épanchement, entorse, choc Médecin généraliste / Urgence si douleur intense 25–60 €
Blocage (impossibilité de plier) Lésion méniscale, corps étranger intra-articulaire Orthopédiste 60–100 €
Rougeur, chaleur, fièvre Infection articulaire Médecin / Urgence 25–100 €
Bruits isolés, sans douleur Causes bénignes physiologiques Surveillance, pas d’urgence 0 €
Ce tableau récapitule les principaux cas où le “genou qui claque” mérite (ou pas) une consultation, ainsi que les fourchettes de prix constatées pour chaque spécialiste.

Faut-il consulter tout de suite ou patienter ?

Voilà la grande question ! En réalité, c’est souvent une affaire de bon sens. Si le genou qui craque ne s’accompagne d’aucun autre symptôme gênant, inutile de se précipiter chez le spécialiste. On surveille, on adopte les bons gestes et on reste à l’écoute. Parfois, c’est juste notre corps qui “cause” un peu fort, comme un vieux plancher sous la pluie — attachant, mais inoffensif.

En revanche, dès qu’il y a un doute, une gêne persistante, un gonflement ou toute sensation inhabituelle (notamment chez les enfants, les personnes âgées, ou en cas d’antécédents), un rendez-vous rapide s’impose. Ne sous-estimez jamais les signaux que votre corps vous envoie ! Une douleur qui dure n’est jamais normale.

Petit aparté pour les sportifs du dimanche (ou du lundi… ou de tous les jours) : Le surmenage, la reprise brutale d’une activité ou la négligence de l’échauffement sont souvent en cause. Dosages et adaptations sont vos meilleurs alliés.

Genou qui claque : comment prévenir ces “craquements” inconfortables ?

Parfois, mieux vaut prévenir que guérir (je verrais bien cette phrase sur le mur du studio de yoga, pas vous ?). Voici mes meilleures astuces, glanées au fil des années, certaines transmises par des élèves d’Annecy, d’autres testées sur mes proches :

  • Misez sur la régularité : Bouger chaque jour, même un peu, entretient muscles et tendons sans les agresser.
  • Vérifiez vos chaussures : Des baskets usées ou mal adaptées repercutent les charges sur le genou.
  • Hydratez-vous : Un corps bien hydraté garde des articulations souples et un liquide synovial de meilleure qualité.
  • Écoutez la moindre douleur : Savoir s’arrêter avant la blessure, ce n’est pas “abandonner”, c’est juste faire preuve d’intelligence et de respect pour soi.
  • Envisagez le massage : Un automassage des muscles autour du genou, avec une huile végétale, peut réduire les tensions. (Je suis fan de la “petite balle de tennis” : ultra simple  ! Il suffit de la placer sous la cuisse, en douceur.)
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Et vous, quels sont vos secrets pour un genou serein ? J’adore quand vous partagez vos astuces en commentaire — souvent, ça devient une vraie mine d’or collective  !

Et si on arrêtait de s’inquiéter ?

Prendre soin de soi, c’est d’abord apprendre à reconnaître les signaux de son corps. Un genou qui claque peut être un messager farceur, un rappel discret qu’il est temps de ralentir, de modifier une habitude, ou simplement de savourer le mouvement. Je rêve d’un monde où l’on écouterait vraiment ces petits signes, sans s’angoisser — ni tomber dans le piège de “Google médecin” à la moindre alerte  !

Rappelez-vous  : il n’y a pas de honte à consulter, même pour “un simple bruit”. Osez poser vos questions à votre professionnel de santé, et osez aussi prendre du temps pour vous, au quotidien. Votre corps est votre premier allié.

Envie d’aller plus loin ? Sur orsca.fr, vous trouverez des guides articulations, des séances de yoga tout doux et des conseils naturopathiques pour retrouver confiance en vos mouvements. Rejoignez notre communauté de passionné(e)s du bien-être, et partageons ensemble nos petits rituels bonne humeur  !

FAQ sur le genou qui claque, douleur et consultation médicale

Quelles sont les principales causes d’un genou qui claque sans douleur ?

La plupart du temps, il s’agit simplement de bulles de gaz qui “pètent” dans le liquide de l’articulation ou d’un tendon qui passe sur un relief osseux. Certaines postures non habituelles, un manque d’échauffement ou une raideur due à la sédentarité peuvent aussi provoquer ces craquements. En l’absence de douleur, rien d’alarmant la plupart du temps.

Quand faut-il s’inquiéter et consulter rapidement ?

Il faut consulter si le claquement s’accompagne de douleurs sévères, de gonflements, d’une incapacité à bouger le genou, de chaleur ou de rougeur locale, ou de fièvre. Ces signes peuvent traduire une infection, une entorse grave ou une lésion mécanique.

Quels examens un médecin peut-il proposer pour un genou qui craque ?

En fonction des symptômes, le médecin pourra prescrire une radiographie (pour voir les os et l’usure du cartilage), une échographie (pour visualiser tendons et ligaments) ou une IRM (en cas de doute sur une lésion interne).

Peut-on prévenir les craquements du genou avec des exercices spécifiques ?

Oui ! Le renforcement musculaire doux (notamment des quadriceps), les étirements, la pratique du yoga ou du pilates, et le maintien d’une activité physique régulière aident à stabiliser l’articulation et à réduire ces petits bruits.

Un genou qui claque chez l’enfant ou l’adolescent, c’est grave ?

Chez les plus jeunes, les bruits de genou sont très fréquents — la croissance, l’hyperlaxité ou la reprise du sport sont souvent en cause. Cependant, en cas de douleur, de boiterie ou de gêne persistante, mieux vaut vérifier avec un médecin pour écarter toute lésion.

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Hydratis avis : que valent vraiment ces sticks de réhydratation

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Imaginez : une longue balade sur les bords du lac d’Annecy, ou encore un cours de yoga un peu plus intense que d’habitude… Et cette petite voix qui vous rappelle que vous n’avez pas assez bu aujourd’hui (je la connais trop bien, celle-là). Depuis quelques semaines, j’expérimente les pastilles Hydratis, ces fameuses effervescentes qui promettent une hydratation optimisée. Hype, effet placebo, ou vraie astuce bien-être ? J’ai décortiqué pour vous – et, entre nous, j’ai aussi essuyé quelques ratés (spoiler : faire tomber la pastille dans mon thé du matin, mauvaise idée).

Pourquoi s’intéresser à l’hydratation optimisée ?

On nous le répète tout le temps : buvez de l’eau ! Facile à dire, mais dans la vraie vie, c’est un peu comme les bonnes résolutions de janvier, on commence fort… puis on oublie. Résultat : maux de tête, fatigue, baisse de la concentration, voire crampes pendant une séance de sport.

Notre corps ne fonctionne pas juste à l’eau. Il a besoin d’une délicate alchimie d’électrolytes (sodium, potassium, magnésium, etc.) pour transporter l’eau jusque dans nos cellules. Voilà pourquoi, même si vous buvez beaucoup, il arrive encore parfois de se sentir desséché. C’est là qu’interviennent les solutions comme Hydratis.

Hydratis : pastilles effervescentes et solution naturelle pour boire mieux

Le principe : bien plus qu’une boisson aromatisée

Les pastilles Hydratis ne se contentent pas de colorer l’eau – heureusement (rassurez-vous, je serais la première à fuir ce genre de gadgets). Leur petit plus : une formule riche en minéraux essentiels (magnésium, potassium, calcium) et en oligo-éléments adaptés au corps humain.

Elles sont fabriquées en France, sans conservateurs ni colorants artificiels, dans une démarche plutôt clean – ce qui reste assez rare dans le domaine des boissons d’effort, où les listes d’ingrédients donnent parfois envie de réviser son bac de chimie.

Découvrir aussi :  Quelle est une bonne VMA pour un homme selon l’âge et l’entraînement ?

Comment fonctionnent les sticks Hydratis ?

Chaque pastille est conçue pour se dissoudre dans votre petite bouteille d’eau (pour ma part, une gourde en inox, évidemment). Résultat : une boisson légèrement pétillante, au goût subtil – mention spéciale au citron-fleur de sureau, qui rappelle un peu les limonades locales mais en version plus douce.

Leur atout, c’est la concentration en électrolytes, qui favorise une hydratation optimale même en cas de forte transpiration, de chaleur… ou de journées marathon quand on court partout (team parents, je vous vois !) .

Avis sur Hydratis : mon expérience et analyse détaillée

Hydratis testé pendant un mois : la vie quotidienne n’a pas menti

J’ai commencé Hydratis en me disant : Bah, ce sera surtout utile après une randonnée sous le soleil ou un trail improvisé avec les copines. Mais surprise : j’ai vite remarqué un changement dès les jours suivants – même au bureau ou lors de journées classiques avec les enfants, quand la fatigue s’accumule.

  • Moins de coups de pompe en fin d’après-midi (avant, je finissais régulièrement par piquer du nez lors de la lecture du soir… Oui, ça arrive quand on lit Le Gruffalo pour la millième fois).
  • Finish des séances de yoga plus serein, pas secouée comme après une séance Bikram sans bouteille.
  • Limitation des fameuses crampes de mollet la nuit, qui me réveillaient en mode taupin dans une chaussette – avouez, si vous connaissez ça, c’est épique.

Mais, attention, je ne vais pas vous vendre un miracle en stick. Parfois, le goût est un peu léger si on dose trop d’eau, et il m’est arrivé deux ou trois fois de sentir une impression un peu salée, surtout avec la saveur coco – un point à connaître si vous êtes sensible.

Retours des utilisateurs : ce qu’en pense la communauté

Je ne suis pas la seule à avoir testé : sur Trustpilot, Hydratis affiche une note excellente, avec une majorité d’avis 5 étoiles. Les retours les plus fréquents :

  • Efficacité pour la récupération sportive – surtout chez les coureurs, randonneurs, ou personnes qui, comme moi, ont un emploi du temps bien rempli.
  • Saveurs naturelles assez agréables : pas de goût chimique, et c’est ce que la plupart recherchent pour sortir du duo eau ou soda.
  • Commande facile, site officiel clair, livraison rapide – important si comme moi, vous avez tendance à oublier d’anticiper vos commandes.

À noter, tout de même, quelques réserves : plusieurs personnes trouvent le prix un peu corsé, et soulignent la présence d’édulcorants pour certaines saveurs. Si vous faites super attention à votre consommation de sucre (ou à ce que vos enfants boivent), c’est un point à vérifier.

Produit Prix par pack (20 pastilles) Prix par boisson (basé sur 500 ml) Édulcorants/Sucres ajoutés + d’info
Hydratis 9,90 € ~0,50 € Oui, édulcorants naturels Site Hydratis
Pastilles concurrentes marque apothicaire 7,50 € ~0,37 € Oui, sucre raffiné Disponible pharmacie
Boisson isotoniques classiques (bouteille 1,5L) 2 – 2,50 € ~0,25 € Oui, beaucoup de sucres Grande surface
Eau minérale seule 0,50 – 1,20 € ~0,05 € Non Partout
Comparatif du coût moyen par boisson et aperçu des sucres/édulcorants selon la solution d’hydratation choisie.
Utile pour choisir selon vos besoins, votre budget… et votre gourmandise !

Derrière les pastilles : composition, saveurs et vrais plus santé

Ingrédients Hydratis : zoom sur ce qu’on avale

Parce qu’on aime savoir ce qu’on consomme (surtout quand on veut allier bien-être et naturel), j’ai étudié la liste des ingrédients :

  • Pas de conservateurs ni colorants artificiels.
  • Électrolytes naturels : magnésium, potassium, calcium (pour aider le corps à mieux retenir l’eau… et prévenir la fameuse migraine du dimanche soir).
  • Arômes issus de fruits ou de plantes.
  • Édulcorants naturels, parfois un peu de sucre en quantité modérée (moins que dans la plupart des sodas ou boissons dites vitaminées).
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Mon astuce perso : choisir la saveur fruit des bois ou citron-fleur de sureau, qui passent toujours bien sans sensation parfumée entêtante. À éviter pour moi : la coco, un peu trop surprenante après un effort intensif – mais c’est affaire de goût (mon mari, lui, adore cette version !).

Qui peut utiliser Hydratis ? Et pour quoi faire ?

Hydratis cible surtout :

  • Sportifs (petits ou grands) : pour prévenir la déshydratation, améliorer la récupération, éviter les crampes.
  • Personnes actives en période de chaleur, lors de trajets, en voyage ou au travail (je pense à celles et ceux qui bossent dehors ou qui oublient juste de boire !).
  • Ceux qui souffrent de maux de tête liés à un manque d’eau – le yoga n’a pas tout réglé dans ma vie, même si je médite sur ça !
  • Enfants à partir de 3 ans, à condition de vérifier la composition — toujours demander l’avis d’un pro si doute.

Bon à savoir : si vous avez une difficulté rénale, cardiaque ou un régime alimentaire très spécifique (faible sodium…), il vaut mieux demander conseil à votre médecin.

Hydratis, marketing ou vrai coup de pouce ?

Résumons : non, Hydratis n’est ni magique, ni indispensable à tous. Oui, c’est un plus pratique pour se rappeler de boire, varier les plaisirs et apporter à votre corps ce qu’il perd dans la journée. À vous de voir si le côté “prix” se justifie dans votre quotidien. Pour celles et ceux qui ont tendance à zapper l’eau ou qui veulent réduire leur conso de sodas, c’est un petit pas simple… et souvent, c’est justement l’accumulation de ces petits pas qui transforme notre santé au fil du temps.

Quelques astuces naturelles pour bien s’hydrater au quotidien (avec ou sans Hydratis)

  • Commencez la journée par un grand verre d’eau ambiante, avant café/thé.
  • Variez les contenants (gourde colorée, verre fétiche… c’est tout bête, mais ça marche !).
  • Ajoutez un peu de jus de citron ou d’herbes fraîches si vous n’aimez vraiment pas l’eau.
  • Posez une carafe d’eau sur chaque bureau/espace stratégique de la maison.
  • Pensez aux infusions froides et aux fruits riches en eau (concombre, pastèque… idéal en été).
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Réussir à mieux boire, c’est déjà s’offrir davantage d’énergie, de légèreté, parfois même… une humeur un peu plus stable (dixit la maman qui grimace moins à 18h quand toute la famille réclame le goûter !).

Ce qui fait la différence au quotidien : mon regard “terrain”

Je ne vais pas vous mentir : j’ai testé des boissons soi-disant miracles qui promettaient monts et merveilles… Pour finir, seule la simplicité paie. Hydratis s’est glissé dans ma routine sur les jours pleins : après un trail matinal, lors d’un atelier de yoga parents-enfants ou encore, quand je prépare mes e-books pendant 2 heures non-stop devant l’ordi (coucou la concentration qui file !).

Anecdote réelle : l’autre jour, en revenant d’une randonnée familiale – la fameuse montée du Semnoz, pour les locaux – mes enfants ont découvert la version pêche. Oh, c’est comme l’eau pétillante, mais en mieux Mum ! Pas impossible qu’ils réclament la version Hydratis pour leur prochaine gourde de sortie… Si ça les motive à boire autre chose que du jus de pomme, c’est déjà gagné pour moi.

Au final, la question Hydratis, c’est celle des petits changements durables. Peut-être que ce qui fait vraiment le plus de différence, ce n’est pas tant la pastille… mais plutôt le déclic de penser à soi, à son corps et à ses besoins.

Alors, si aujourd’hui vous avez envie d’essayer quelque chose de nouveau pour booster votre énergie, ou simplement pour (enfin) tenir votre promesse de boire plus d’eau, pourquoi ne pas tenter l’expérience ? Et si vous testez, racontez-moi ce que vous en avez pensé – vos anecdotes m’intéressent toujours autant, surtout celles qui finissent par un éclat de rire ou une auto-dérision bienvenue.

À votre santé (hydratée) ! 🌿

FAQ : Hydratis, questions fréquentes et réponses rapides

Qu’est-ce que Hydratis exactement ?

Hydratis, ce sont des pastilles effervescentes françaises, à dissoudre dans l’eau, enrichies en électrolytes, pour aider à mieux s’hydrater au quotidien – quand l’eau pure ne suffit plus, ou quand on a besoin d’un petit coup de pouce.

Les pastilles Hydratis contiennent-elles du sucre ou des édulcorants ?

Oui, Hydratis utilise principalement des édulcorants naturels. Il peut y avoir une faible dose de sucre selon la saveur choisie – rien à voir, en quantité, avec une boisson sucrée classique.

À qui s’adresse Hydratis ? Peut-on en donner aux enfants ?

Plutôt pensé pour les adultes actifs, sportifs ou non, Hydratis peut convenir aux enfants à partir de 3 ans mais mieux vaut demander l’avis de votre médecin ou pédiatre, surtout s’il y a un terrain sensible (diabète, régime spécial, etc.).

Où acheter Hydratis et combien ça coûte ?

Principalement en ligne sur le site officiel, ou chez certains distributeurs partenaires. Comptez autour de 9,90 € pour un tube de 20 pastilles (soit environ 50 centimes par boisson).

Peut-on utiliser Hydratis en complément d’une alimentation saine ?

Oui, ces pastilles peuvent compléter une bonne hygiène de vie, mais ne remplacent évidemment ni une alimentation équilibrée, ni une vraie écoute de sa soif… et de ses besoins personnels.

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Sports

Quelle est une bonne VMA pour un homme selon l’âge et l’entraînement ?

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Il y a une vraie question qui revient souvent dans vos messages ou lors de nos discussions après les cours au studio : À quel niveau de VMA (Vitesse Maximale Aérobie) faut-il s’attendre selon l’âge quand on est un homme ? Que vous cherchiez à reprendre la course, à challenger vos potes lors de prochaines séances de fractionné, ou tout simplement à comprendre comment votre corps évolue, la notion de VMA reste un excellent repère. Mais ne vous en faites pas : on ne va pas parler de chiffres « absolus » ou de records impossibles à atteindre après 30 ans (et deux enfants… croyez-moi, je sais de quoi je parle). On va plutôt voir ensemble comment la VMA évolue avec l’âge chez les hommes, pourquoi cette donnée est intéressante, et surtout, comment vous pouvez continuer à progresser, peu importe où vous commencez.

Pourquoi la VMA est-elle si importante en course à pied ?

La Vitesse Maximale Aérobie, ça fait parfois un peu peur comme terme technique, non ? Pour faire simple : c’est la vitesse la plus élevée que vous pouvez tenir en utilisant le maximum de votre capacité d’oxygène. Autrement dit, c’est ce fameux moment où, lors d’une séance de fractionné, on sent tout le corps qui turbine, la respiration qui devient plus courte et le mental qui vacille entre « j’y vais encore » ou « demain, je reprends le yoga ! ».

Connaître sa VMA est bien plus qu’un chiffre sur une fiche : c’est un outil pour adapter vos entraînements, éviter la stagnation, progresser sans blessure (et, disons-le, pour briller lors du débrief’ post-entraînement autour d’un smoothie).

Comment la VMA évolue-t-elle avec l’âge chez les hommes ?

Pendant mes études en psychologie, j’avais lu une étude sur la décroissance « naturelle » de certaines capacités physiques. Et pourtant, quand je regarde mon mari – qui court encore plus vite que certains jeunes du club alors qu’il ne s’échauffe qu’avec sa playlist des années 2000 –, je me dis que l’âge n’est pas qu’une question de chiffres.

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Plus sérieusement : il est vrai que la VMA moyenne chez l’homme diminue doucement à partir de la trentaine. Mais cette baisse n’est ni automatique ni uniforme. Voici un panorama des valeurs moyennes de la VMA selon l’âge et le niveau d’entraînement :

Tranche d’âge VMA moyenne débutant (km/h) VMA moyenne entraîné (km/h) VMA élite (km/h)
20–29 ans 13–15 16–19 20 +
30–39 ans 12–14 15–18 19 +
40–49 ans 11–13 14–17 18 +
50–59 ans 10–12 13–16 17 +
60 ans et + 9–11 12–15 16 +
Relevé indicatif des valeurs de VMA pour un homme selon l’âge et le niveau d’entraînement. Vous remarquerez qu’il existe toujours une marge : votre style de vie, votre expérience du sport, et même votre motivation du jour font toute la différence.

Zoom sur les niveaux d’entraînement : pourquoi autant d’écarts ?

Une anecdote racontée lors d’un trail à Talloires m’a marquée. Un coureur de 52 ans, à l’allure tranquille, dépassait tout le monde dès que la pente s’accentuait. « Je n’ai jamais couru à 20 ans », m’a-t-il confié. La preuve : la régularité et l’adaptation de votre entraînement priment bien plus que l’âge.

  • Un homme sédentaire ou débutant verra souvent sa VMA entre 10 et 14 km/h, quel que soit l’âge passés 30 ans.
  • Une pratique régulière (2 à 3 séances/semaine) permet de maintenir, voire d’améliorer des scores autour de 15 à 18 km/h, même après 40 ans.
  • Les coureurs élite (qui s’entraînent 5 fois par semaine et surveillent alimentation, sommeil, récupération… et qui troquent leurs pâtes bolo contre du quinoa) restent au-dessus de 18 km/h jusqu’à un âge avancé.

Quels facteurs influencent votre VMA… et comment les apprivoiser ?

Pendant longtemps, je croyais naïvement que mon « capital VMA » était gravé dans le marbre de mes gênes. En réalité, tout est question de contexte :

Entraînement structuré et intelligent

Le fractionné, ça ne s’improvise pas… mais je vous rassure, ce n’est pas réservé aux athlètes ! Alterner des périodes rapides et des moments de récupération, sur piste ou nature, stimule directement votre VMA. Par exemple : courir 30 secondes à fond, 30 secondes lentement, dix fois de suite. Les progrès sont souvent bluffants en quelques semaines.

Âge et hygiène de vie : l’alliance gagnante

L’âge pèse bien sûr dans la balance, mais on sous-estime le pouvoir de l’alimentation, du sommeil et du stress sur la récupération et la performance. Avoir « 20 ans toute sa vie », c’est surtout bien dormir, bien manger, et ne pas négliger les pauses détente (promis, le yoga n’est pas qu’un sport de souplesse !).

Prédispositions… et réalités motivantes

Chacun a son histoire génétique (et oui, certains sont « taillés pour courir »). Mais cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas, à tout âge, s’améliorer, gagner en souffle, muscler sa confiance et repousser ses anciens records personnels. La course à pied, c’est surtout une histoire d’adaptations continues (et d’humilité face aux séances qui piquent !).

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Comment tester sa VMA et progresser… sans s’épuiser

Petite confidence : ma première séance de test VMA, je l’ai fait sur le stade du lycée, en baskets roses fluo (celles que j’avais volées à ma sœur… désolée Alice). Résultat : plus concentrée sur mon souffle que sur mon chrono, j’ai explosé au bout de huit minutes. Rassurez-vous, il existe des méthodes simples et ludiques pour calculer sa VMA :

Le test demi-Cooper (6 minutes) : un classique accessible

Idéal si vous débutez ou si les tests officiels vous intimident. Courez à allure maximale pendant 6 minutes sur une piste mesurée (ou autour du lac, pour les plus courageux). Relevez la distance parcourue, divisez-la par 100 et vous obtenez votre VMA en km/h.

Alternatives amusantes et moins rigides

Beaucoup de clubs locaux proposent des tests VMA adaptés, comme le « navette » (vous courez entre deux plots au rythme d’un bip sonore) ou la version en plein air, à Annecy, sur les bords du lac (testé et approuvé, malgré les touristes en rollers et les cygnes un peu trop curieux).

Comment interpréter mon résultat ?

Ce chiffre ne doit pas être une source de pression. Il sert surtout de balise pour adapter vos séances et constater vos progrès au fil des mois.

  • Moins de 12 km/h : début de reprise ou sédentarité, il y a une belle marge de progression.
  • 12–15 km/h : niveau régulier, base solide pour constructions progressives.
  • 16 km/h et plus : très bon niveau, pensez récupération et variété des séances !

Quelques idées pour booster sa VMA même après 30, 40 ou 50 ans

Mon objectif ici, c’est de dédramatiser. Oui, certains jours, le corps nous rappelle notre âge. Mais bonne nouvelle : il existe plein de leviers pour faire grimper sa VMA, même après plusieurs années de jogging tranquille !

Séances d’intervalle (fractionné)

  • 1 séance par semaine suffit pour observer les premiers résultats.
  • Essayez la pyramide : 30s vite / 30s lent, 1 min vite / 1 min lent, puis on redescend.
  • N’oubliez pas l’échauffement… Votre corps vous dira merci le lendemain.

Varier les plaisirs ( et les terrains !)

Course en nature, montées, séances de côte ou de fartlek (alterner allure rapide et récupération selon l’inspiration du moment – oui, ça fonctionne vraiment : testé lors d’une rando à La Clusaz, juste avant un grand pique-nique bien mérité !).

Ne négligez jamais la récupération

Le sommeil profond, les balades tranquilles, les étirements… tout cela compte plus qu’on ne le croit. J’ai constaté que mes phases de progression les plus rapides sont arrivées… après mes périodes de pause forcée (merci les otites des enfants : au moins, maman a dormi !).

Nutrition et hydratation : vos meilleurs alliés

Pas besoin de remplacer la raclette par du tofu, mais optez pour une alimentation variée, riche en vitamines, et hydratez-vous régulièrement. Le corps carbure mieux et récupère plus vite. Petite astuce perso : une poignée de noix avant le départ, une gorgée d’eau toutes les 15 minutes sur grosse séance.

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Mental, motivation et petits pas : tout change avec l’attitude

On oublie souvent l’essentiel : le plaisir. Si votre VMA grimpe mais que courir devient une torture, à quoi bon ? Fixez-vous des micro-objectifs, célébrez chaque séance achevée (même si c’est juste un tour du pâté de maisons), et n’hésitez pas à vous entourer d’ami·es ou d’un club pour entretenir la flamme.

Envie d’expérimenter sans pression ? Pourquoi ne pas vous inscrire à une course caritative, ou simplement noter vos ressentis après chaque séance ? J’adore relire mes anciens carnets où je râlais sur la pluie… Aujourd’hui, c’est presque devenu un plaisir de courir sous l’orage (presque, hein !) .

Pour avancer : osez sortir du cadre et écoutez-vous

Gardez en tête que la VMA n’est qu’un indicateur, une boussole. Ce n’est pas une fatalité ou une source d’angoisse. Ce qui compte, c’est ce que vous en faites : chaque nouveau kilomètre, chaque sourire retrouvé après une séance relevée, chaque coup de mou surmonté a bien plus de valeur qu’un chiffre sur une montre connectée.

Et puis, dites-vous que même les plus grands champions connaissent des jours sans ! (Je soupçonne que même Kilian Jornet a déjà préféré rester sous la couette plutôt que d’aller courir quand il pleuvait à torrents… mais chut, c’est notre secret).

Alors, prêt·e à (re)découvrir votre VMA, à tout âge et surtout à votre rythme ? Si vous avez envie d’en discuter ou de partager vos astuces et expériences, je vous invite à laisser un commentaire ou à passer me voir au studio d’Annecy. On en parle autour d’une infusion – ou d’un très bon gâteau maison 😊

FAQ : VMA, âge et entraînement masculin – 5 questions essentielles

Qu’est-ce que la VMA exactement ?

La Vitesse Maximale Aérobie correspond à la vitesse de course la plus élevée que vous pouvez maintenir tout en utilisant tout l’oxygène que votre corps peut absorber. C’est un super indicateur de vos capacités d’endurance et un outil pour structurer vos entraînements.

Comment la VMA évolue-t-elle chez un homme à partir de 30 ans ?

Elle baisse très doucement (environ 0,5 km/h par décennie en moyenne), mais cette diminution est largement compensée par l’entraînement, l’hygiène de vie et le plaisir retrouvé dans la pratique sportive. Rien d’inéluctable, donc !

Pourquoi les écarts de VMA sont-ils si importants entre individus ?

Génétique, habitudes sportives passées, niveaux d’entraînement, alimentation, sommeil… La liste est longue et chaque corps réagit différemment. Ne vous comparez qu’à… vous-même d’il y a quelques mois – c’est la meilleure façon d’aller de l’avant.

Comment augmenter sa VMA en toute sécurité après 40 ans ?

Fractionnés doux mais réguliers, séances variées, échauffement systématique, récupération généreuse et alimentation équilibrée : voilà les bases. Et toujours écouter vos sensations : éviter le surentraînement est essentiel pour progresser sans blessure.

Quelle est la VMA « très bonne » pour un homme de 50 ans ?

On considère qu’une VMA de 15–16 km/h à cet âge montre un très bon niveau de forme (plus que la moyenne), surtout si l’entraînement est régulier. Mais souvenez-vous : l’essentiel, c’est la progression à votre échelle, pas la comparaison avec son voisin !

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