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Quel est le tarif d’une consultation à l’école vétérinaire de Maison-Alfort ?

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Imaginez : votre animal, ce compagnon qui partage vos matins câlins et vos promenades sous les arbres, se met soudain à boiter ou refuse de manger. C’est la panique – et la grande question surgit aussitôt : « Mais combien va coûter la consultation vétérinaire ? Et puis, est-ce qu’on sera bien accompagnés ?» Si, comme moi, vous trouvez que la santé de nos amis à quatre pattes devrait pouvoir rimer avec sérénité (et pas avec angoisse devant la note), l’École vétérinaire de Maisons-Alfort offre une alternative intéressante. Pour beaucoup, elle représente à la fois expertise, accessibilité et pédagogie. Mais comment s’y retrouver parmi les tarifs, les spécialités et les démarches ? Installez-vous, je vous partage tout ce que j’aurais aimé savoir la première fois que j’ai accompagné Biscotte, le lapin de mes enfants, là-bas – le combo stress du jour et détection de carottes en poche compris !

Pourquoi choisir l’École vétérinaire de Maisons-Alfort ? Une approche différente et bienveillante

Impossible de parler de cette clinique sans évoquer sa spécificité : ici, des vétérinaires confirmés travaillent en équipe avec des étudiants. Résultat ? Un regard multiple sur chaque cas, des échanges, parfois même des solutions auxquelles on n’aurait pas pensé ailleurs… et souvent, des prix plus doux qu’en cabinet traditionnel.

Mais ce n’est pas tout. On ressent sur place cette énergie propre aux lieux où l’on apprend autant qu’on soigne. Le moindre animal, du chat au furet en passant par les chevaux (!), est accueilli comme un petit roi, si je puis dire. Concrètement, c’est aussi un établissement public, donc les tarifs pratiqués restent encadrés et transparents.

Bon, venons-en au cœur du sujet (et rassurez-vous, je n’oublie pas les détails pratiques ni les questions type « Dois-je prendre un rendez-vous en avance ? » ou « Et pour une urgence ? »).

Les tarifs de consultation vétérinaire à Maisons-Alfort : décryptage et repères concrets

Tout commence avec une donnée essentielle : ici, pas de mauvaises surprises, les prix sont communiqués clairement. Bien sûr, ils dépendent de la nature de la consultation. Entre une simple visite de contrôle pour Médor et la chirurgie de la tortue fan de marrons, il y a… disons, un monde !

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Mais pour vous donner une vision claire, voici un tableau que j’aurais aimé trouver lors de ma première visite :

Type de service Tarif à partir de (€) À savoir
Consultation générale 30 Prise en charge globale, exam clinique complet
Vaccination annuelle 40 Inclut examen de base ; puce ou carnet conseillés
Consultation spécialisée 50 Cardiologie, dermatologie, ophtalmologie…
Chirurgie (petits animaux) 100 Selon intervention, anesthésie comprise
Visite Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) 45 Lapin, furet, oiseau, reptile…
Urgence vétérinaire 50 Consultation hors horaires, soins d’urgence inclus
Comparatif des tarifs moyens pratiqués par l’École vétérinaire de Maisons-Alfort selon le type de consultation. Pour une estimation précise, un devis est proposé lors de la visite.

C’est clair : les premiers prix restent sages comparés au coût en cabinet privé (où une intervention chirurgicale peut grimper à plusieurs centaines d’euros !)

Ce qui influence le tarif de la consultation vétérinaire

Les prix annoncés sont des « à partir de ». En fonction de la complexité, un acte supplémentaire (radiographie, analyse de sang, hospitalisation…), la facture peut varier. Pour mon chat Linotte, par exemple, une simple visite s’est transformée en véritable check-up de championne : prise de sang, échographie, et papouilles en prime.

Gardez à l’esprit :

  • Le temps passé sur place fait parfois grimper la note (examens complémentaires, analyses…)
  • Le poids et la taille de l’animal : logique ; opérer un dogue allemand n’est pas tout à fait comme opérer un hamster (sauf si c’est pour une fracture de la carotte, expérience véridique dans la salle d’attente !)
  • La nature des soins (prévention, diagnostic, chirurgie, soins d’urgence, hospitalisation…)

Le plus ? L’équipe explique systématiquement ce qui est prévu et propose un devis écrit AVANT toute intervention. Pas de surprise à la caisse – à part parfois un sourire, ou une caresse du chien assistant.

Prendre rendez-vous à l’École vétérinaire de Maisons-Alfort : mode d’emploi simple

Pas de stress : plusieurs solutions vous attendent. (Je me souviens d’avoir hésité entre le téléphone – en espérant qu’une vraie personne réponde rapidement – et le mail, option « maman pressée mais organisée »).

  • Par téléphone : 01 43 96 73 73 (du lundi au vendredi, 8h30-17h30)
  • Par mail : contact@vet-alfort.fr (n’oubliez pas nom, prénom, numéro, motif de la visite !)
  • En ligne via formulaire pour certaines spécialités : médecine préventive, NAC, dermatologie, ophtalmologie
  • Directement à l’accueil (c’est parfois l’option pour les urgences ou si vous êtes du quartier !)

Petit conseil perso : Précisez toujours si l’animal a un traitement en cours, une allergie, ou s’il a tendance à stresser au contact d’autres animaux. Pour mon furet (enfin, celui de ma voisine, mais bon), la précision « prévoir une pièce calme » a changé toute l’expérience !

Urgence vétérinaire Maisons-Alfort : comment réagir ?

Si votre animal a besoin d’aide rapide (accident, suspicion d’empoisonnement, blessures sérieuses…), il existe un numéro dédié : 01 43 96 72 72. Les urgences sont assurées 24h/24, 7j/7, même les jours fériés. Une équipe restreinte mais ultra-efficace prend le relais, et le coût de la consultation est clairement affiché à l’arrivée.

Question classique (qui m’a déjà réveillée à 3h du matin, je l’avoue sans honte) : « Mais on fait quoi en attendant de partir ? »

  • Premiers gestes de secours : isolez l’animal dans un endroit calme
  • Appelez directement, même en pleine nuit, pour recevoir les bons conseils d’attente
  • Notez ce que vous avez observé : symptômes, heure, circonstances
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Parfois, le petit carnet aimanté sur le frigo prend tout son sens…

Des consultations spécialisées pour toutes les situations

L’avantage maison-Alfort : tout est pris en charge, même les cas… inhabituels ! La fois où Biscotte, le fameux lapin, a été suspecté d’allergie au foin (oui, oui, ça existe !), j’ai découvert qu’il y avait :

  • Une équipe NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) : lapins, reptiles, oiseaux, rongeurs…
  • Des consultations de médecine préventive pour chiens et chats (bilans santé, suivi vaccinal, contrôle des parasites, nutrition…)
  • Des spécialistes en dermatologie (allergies, maladies de peau)
  • Une équipe ophtalmo, des chirurgiens, et même un service de cardiologie

Ici, chaque animal est un cas unique, et vous repartez toujours avec un compte-rendu et des conseils clairs – j’insiste : adieu le jargon incompréhensible !

Pourquoi des tarifs différents selon les spécialités ?

Certaines spécialités demandent du matériel ou des examens poussés. Par exemple :

  • Consultation simple = entretien, examen clinique de base
  • Consultation spécialisée = examens complémentaires (analyses sanguines, imagerie, intervention rapide…)
  • Chirurgie = actes techniques et anesthésie, suivi post-op

Mais là encore : tout devis est transmis, en toute transparence.

Avantages : pourquoi faire confiance à cette école vétérinaire ?

Pour l’avoir expérimenté (je connais par cœur les couloirs des petits animaux à force d’accompagner la ménagerie familiale…), plusieurs points forts ressortent :

  • Prise en charge globale, humaine, et attentive à votre stress autant qu’à celui de votre animal
  • Dialogue facilité : on vous explique tout, et aucune question n’est jugée « bête ». J’ai testé avec « Est-ce que mon perroquet peut vraiment attraper froid ? »… la réponse fut longue, passionnante (et rassurante !)
  • Prix accessibles, parfois adaptés selon la situation du propriétaire (étudiants, personnes en difficulté)
  • Travail en équipe : confronter plusieurs avis permet d’éviter certains oublis ou de gagner en justesse
  • Accès à des techniques de pointe (IRM vétérinaire, analyses complexes) pour une fraction du prix du privé

Et franchement, difficile de ne pas repartir avec le sourire quand, à la sortie, votre animal vous regarde comme s’il avait fait le tour de France des copines-infirmières !

Comment se déroule une visite vétérinaire à Maisons-Alfort ?

Je décris la dernière consultation de Biscotte, car il n’y a rien de mieux que du concret :

  1. Arrivée et accueil : inscription au guichet, remise d’un dossier (pratique, on vous redemande le prénom de la bête au moins trois fois… Côté personnalisation, imbattable !)
  2. Entretien préliminaire avec un étudiant (très diplômé), sous supervision immédiate d’un vétérinaire confirmé
  3. Questions santé, habitudes, antécédents… : ici, tout est passé au crible doux (mais pas oubliés : les câlins de réconfort si votre animal tremble un peu…)
  4. Examen clinique, puis discussion sur les options : parfois, il faut des examens complémentaires, parfois pas
  5. Proposition de devis, commentaires clairs sur la suite
  6. Retour à la maison avec ordonnance, conseils et numéro à rappeler en cas d’évolution

L’ensemble a été plus long qu’en cabinet privé, mais jamais expéditif. C’est le temps de l’apprentissage… et du prendre soin, qui va avec !

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Questions pratiques : ce qu’il faut préparer avant la visite

Petit mémo à garder sous la main (testé et approuvé après la mésaventure « oups, j’ai oublié le carnet de santé ») :

  • Carnet de santé de l’animal (très important !)
  • Liste des traitements en cours, allergies ou pathologies connues
  • Notes sur les symptômes constatés et leur durée
  • De quoi rassurer votre animal : couverture, doudou, friandise préférée (pour mon chat, rien ne vaut un bouchon en liège…)
  • Votre carte d’identité, parfois demandée
  • Mode de paiement accepté (espèces, carte, chèque ; pensez à vérifier en amont… histoire d’éviter les courses urgentes à la banque !)

Un dernier conseil : prévoyez un créneau large, car la consultation prend parfois du temps, surtout si l’animal a besoin de tests ou de surveillance.

Moins d’angoisse, plus de sérénité : mon regard sur Maisons-Alfort

Si comme moi, vous ressentez ce pincement de stress à chaque visite chez le vétérinaire (et que vous avez déjà consulté Google six fois avant de décrocher votre téléphone…), l’école vétérinaire de Maisons-Alfort est une vraie bouffée d’air frais. J’ai été bluffée par la patience, la gentillesse et l’écoute de l’équipe. Le rapport qualité-prix me paraît honnête et transparent, sans la sensation de « devoir faire un tri dans la prise en charge » en fonction de son porte-monnaie.

Alors, la prochaine fois qu’un chat, un chien, une perruche ou – qui sait – un furet pose problème, pensez à ce lieu où l’attention ne rime pas forcément avec facture salée. Et si vous avez vécu une expérience là-bas, je serais ravie de lire vos anecdotes, vos conseils ou tout simplement vos questions en commentaire. En attendant, câlins à vos animaux (et pourquoi pas, une petite respiration profonde pour vous ?)

Foire aux questions sur les tarifs vétérinaires à l’École vétérinaire de Maisons-Alfort

Les tarifs des consultations sont-ils vraiment moins élevés qu’en cabinet privé ?

En général, oui : grâce au statut public de l’établissement et à l’accompagnement pédagogique, les premiers tarifs sont accessibles et transparents. Certaines interventions complexes restent coûteuses (notamment la chirurgie lourde), mais un devis est toujours proposé avant d’engager les soins.

Peut-on venir sans rendez-vous en cas d’urgence ?

Oui ! Le service des urgences vétérinaires est accessible 24h/24, 7j/7, sans rendez-vous. Contact au 01 43 96 72 72. Pour les consultations classiques, mieux vaut prévoir un rendez-vous en amont.

Quelles spécialités peut-on consulter à Maisons-Alfort ?

L’offre est large : médecine préventive, consultations NAC (nouveaux animaux de compagnie), spécialités en ophtalmologie, cardiologie, dermatologie, chirurgie, etc. Chaque service a ses créneaux dédiés, certains accessibles à la réservation en ligne.

Les consultations sont-elles plus longues qu’en cabinet privé ?

Souvent, oui. Le temps consacré peut être plus important, car il s’agit d’encadrer des étudiants et de garantir un diagnostic approfondi. Mais cette lenteur est aussi gage d’écoute et de rigueur.

Où trouver les tarifs exacts pour mon animal ?

Pour obtenir une estimation précise, le mieux est de contacter le service concerné (par téléphone ou email) et de demander un devis. Les tarifs varient selon la gravité, l’espèce, et l’acte pratiqué.

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Dry humping : qu’est-ce que c’est et pourquoi en parle-t-on autant ?

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Soyons honnêtes : qui n’a jamais entendu parler du dry humping ces derniers mois ? Cette expression anglaise, qui fait le tour des réseaux sociaux et des discussions intimes, intrigue autant qu’elle fait sourire. Mais derrière les clichés, de quoi s’agit-il vraiment ? Est-ce une simple mode ou une véritable alternative sexuelle, porteuse de surprises… et de questions ? Si vous vous demandez, vous aussi, si le dry humping peut avoir du sens dans une vie sexuelle épanouie (ou juste vous épargner quelques gênes), vous êtes pile au bon endroit. On s’installe, on respire – et on ose en parler sans tabou ni jugement.

Dry humping : définition, origines et petits secrets

Le dry humping, parfois traduit par frottage sec ou simplement « frottage », c’est cette pratique sexuelle qui consiste à stimuler les zones érogènes à travers les vêtements, donc sans nudité ni pénétration. Pour faire simple, on frotte, on explore, on s’amuse – sans aller forcément “jusqu’au bout”. Cela concerne parfois un échange à deux, parfois tout seul, parfois même… sur un coussin (rassurez-vous, vous n’êtes pas seuls : il paraît qu’on en a tous entendu parler au collège… ou testé dans son salon).

Là où le dry humping se distingue, c’est qu’il bouscule les codes : il met l’accent sur la sensation, le jeu, l’excitation progressive – loin des automatismes trop performance de la sexualité moderne. Et si ce n’était pas si enfantin, finalement ? Quand on y regarde de plus près, cette pratique n’est ni nouvelle ni marginale : elle existe depuis aussi longtemps que l’envie d’explorer a chatouillé les humains… mais aujourd’hui, elle réapparaît sous un jour plus assumé, plus décomplexé, voire revendiqué.

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Frottage sec, dry hump, humping : quelles différences de mots ?

On retrouve plusieurs variantes autour du dry humping : certains parlent de frottage sec, d’autres de dry hump, ou de humping tout court. La seule distinction concerne le contexte : le terme anglais s’est popularisé auprès des plus jeunes via TikTok, Instagram ou des articles de presse féminine. Mais dans tous les cas, on parle toujours d’excitation sans pénétration, avec ou sans vêtements, mais, par définition, sans contact direct avec la peau intime.

Pourquoi le dry humping a le vent en poupe ?

Sans doute parce qu’il répond à un vrai besoin : celui d’explorer sa sexualité sans prise de risque excessive – ni grossesse non désirée, ni IST (à condition de rester effectivement habillé). Mais aussi parce qu’il permet d’expérimenter autrement le plaisir, l’intimité, la complicité, sans pression de performance. Un peu comme si on remettait le slow, la tendresse, au centre du jeu… et franchement, parfois, ça fait du bien.

Pratique sexuelle Risque de grossesse Risque IST Besoin de nudité ? Accessible aux débutants ?
Dry humping Quasi nul Très faible Non Oui
Pénétration vaginale classique Élevé sans protection Élevé sans préservatif Oui Non toujours
Rapport oral Nul Modéré Oui Variable
Masturbation mutuelle (habillé) Nul Faible Non Oui
Comparatif des risques et accès selon les pratiques : le dry humping apparaît comme une alternative sécurisée, facilement accessible, idéale quand on débute ou qu’on souhaite simplement changer de rythme.

Les vraies raisons d’explorer le dry humping

Moins de risque, moins de stress…

L’un des plus gros avantages du dry humping, c’est qu’il lève le frein de la peur. Pas de pression contraceptive ou de test d’IST toutes les semaines : en restant habillé, on limite drastiquement tous ces risques. Cela crée un espace où l’exploration peut rester ludique et détendue, pas envahie par l’anxiété ou la peur du faux pas. Et pour beaucoup, cette légèreté-là, elle change tout.

Un terrain de jeu idéal pour les débutants

J’aurais aimé qu’on me parle plus tôt du dry humping. Quand j’étais ado, on se lançait souvent dans l’inconnu un peu à l’aveugle, persuadé qu’il n’y avait qu’une seule façon de faire l’amour. Aujourd’hui, je vois mes élèves (même adultes !) s’éveiller avec mille peurs ou maladresses. S’autoriser à explorer sans pression ni regard extérieur, c’est apprendre à connaître son corps, ses envies, souvent pour la toute première fois.

La magie du teasing (et de la frustration bien dosée)

Parfois, laisser monter le désir sans le consommer tout de suite, c’est une source d’excitation décuplée. Le dry humping, c’est tout un art du pas tout à fait : toucher sans tout dévoiler, effleurer sans complètement lâcher prise. Qui a dit que la frustration était toujours négative ? Elle peut pimenter une relation, réveiller les papillons dans le ventre (ou ailleurs). J’en parle en connaissance de cause : il y a quelque chose de grisant à prolonger ce moment… jusqu’à ce que, peut-être, les dernières couches tombent (mais vraiment plus tard, si on veut !).

Peut-on tout oser ? Les risques, bien réels, et comment les éviter

Irritations, brûlures : ça arrive plus vite qu’on ne croit !

Le revers du dry humping, c’est l’excès d’enthousiasme. Ce n’est pas très glamour, mais le frottement des tissus – surtout s’ils sont rugueux, en jean ou synthétique – peut vite devenir désagréable. Rougeurs, échauffements, parfois même de petites brûlures : tout cela peut survenir si on joue trop longtemps sans s’écouter. Je me souviens d’une amie qui, après un dimanche un peu trop passionné, a dû supporter une vraie gêne… au point de redouter ses jeans moulants plusieurs jours. La clé, c’est vraiment d’apprendre à s’arrêter à temps, ou de troquer son pantalon contre un legging tout doux (oui, même le pyjama licorne fonctionne – testé et approuvé !)

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Les situations à risques : attention à la zone grise

Bien sûr, le dry humping n’est pas une assurance tout risque. Certaines pratiques – frottement sur des zones déjà blessées, sur peau nue, ou arrêt tardif alors que l’un des partenaires ne veut pas aller plus loin – peuvent poser souci. Sans compter l’aspect consentement : s’arrêter dès que l’un commence à ne plus être à l’aise, cela reste la base (et ça vaut pour tout le reste).

IST et grossesse : est-ce vraiment zéro risque ?

Disons-le : le risque n’est jamais strictement nul. S’il y a contact prolongé sur des sous-vêtements humides, ou vêtements trop fins, une petite transmission reste théoriquement possible (même si, j’insiste, ça reste rarissime). Dans la vraie vie, cela peut arriver si l’on retire les vêtements en fin de pratique sans précaution ou s’il y a contact bucco-génital direct après. Bref, prudence.

Conseils pratiques pour un dry humping 100 % plaisir et 0 % soucis

1. Préparez le terrain… et votre garde-robe

Choisissez des vêtements agréables, propres et pas trop serrés. Les matières douces limitent les frottements désagréables. Oubliez le jean brut, préférez un legging (mes élèves savent ma passion pour le combo vêtement doudou + moments d’intimité).

2. Restez à l’écoute de votre corps

N’attendez pas d’avoir mal : si ça chauffe, stoppez ou changez de position. Il n’y a aucun mérite à aller au delà, ce n’est pas une compétition. Si besoin, variez les pressions, récupérez, puis repartez doucement.

3. Lubrification naturelle : pas interdit, mais…

Petit aparté : pendant le frottage, il est parfois tentant d’utiliser un peu de lubrifiant. Pourtant, sur les textiles, cela devient souvent plus poisseux qu’agréable (et bonjour la lessive). Misez plutôt sur le dialogue et la lenteur : le corps sait accompagner le mouvement. Et sinon, on improvise : coussin moelleux, plaid soft, tout est permis (dans la limite du consentement partagé… et de votre capacité à faire la lessive le lendemain, sinon on en reparle entre parents, croyez-moi !).

4. Check-list relationnelle : pensez à communiquer

Avant, pendant, après : mettez des mots sur vos envies et vos limites. C’est bête, mais on imagine trop souvent que l’autre “devine”. À deux, partagez ce que vous aimez, ou ce que vous redoutez – c’est la meilleure façon de transformer cette expérience en vrai terrain de complicité. Et qui sait ? Peut-être cela ouvrira-t-il la porte à d’autres découvertes.

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5. Et si vous n’aimez pas ? Pas de pression !

On a le droit d’essayer… et de ne pas aimer. La sexualité, c’est aussi accepter que certaines pratiques ne nous conviennent pas. Ce n’est ni un échec, ni un bug. On range tout cela dans la boîte des souvenirs, et on continue à explorer ce qui vous (nous) fait vibrer, chacun à son rythme.

Checklist : pratique du dry humping serein Oui / Non / À tester
Vêtements adaptés (doux, propres, pas irritants)
Consentement et dialogue clair
Pause dès les premiers signes d’irritation
Hygiène avant et après
Écoute de ses sensations et de son envie
Utilisation de lubrifiant (si envie) À tester
Checklist pour un dry humping réussi : Quelques repères pour transformer l’expérience en plaisir, sans effet secondaire indésirable. À garder sous la main pour vos prochaines aventures (ou à afficher à côté du tapis de yoga ?).

Envie d’un autre regard sur la sexualité ? Osez essayer, à votre rythme

Voilà, le dry humping n’a – définitivement – rien de ringard ni de honteux. C’est une façon décomplexée, douce et sans prise de risques majeurs d’inventer une intimité sur mesure. Peut-être avez-vous grandi en pensant qu’il n’y avait qu’une seule façon de vivre une sexualité épanouie. Pourtant, chaque petit pas compte, chaque nouveauté peut ouvrir une porte. Vous avez le droit de prendre votre temps, de préférer le slow à la précipitation, de réinventer la règle du jeu.

Je vous invite, vraiment, à en faire un terrain de jeu joyeux, créatif et respectueux – le vôtre. Et, si le cœur vous en dit, partagez vos expériences, vos hésitations ou vos petites victoires en commentaire. On est là pour échanger, apprendre, s’inspirer mutuellement, sans tabous. Et vous, quelle a été votre première impression, votre anecdote (loufoque ou touchante) autour du dry humping ? Osez en parler, c’est déjà avancer.

FAQ sur le dry humping : questions fréquentes et réponses bienveillantes

Qu’est-ce que le dry humping exactement ?

C’est une pratique sexuelle où l’on stimule ses zones érogènes, à deux ou en solo, en gardant ses vêtements. Pas de pénétration, pas de nudité obligatoire : l’excitation vient par le jeu du frottement, souvent dans une dynamique très progressive. Parfait pour explorer autrement !

Puis-je avoir un orgasme (ou le faire découvrir à mon/ma partenaire) en pratiquant le dry humping ?

Oui, tout à fait. Beaucoup de personnes découvrent que l’orgasme n’est pas réservé à la pénétration ou aux pratiques “classiques”. Le frottement, même à travers les vêtements, peut suffire à déclencher beaucoup de plaisir… ou juste un moment de grande proximité.

À quoi faut-il faire attention pour éviter les mauvaises surprises ?

Premier point : écouter son corps. Rougeur, démangeaison ou sensation de brûlure – on fait une pause si besoin. Veillez aussi à choisir une tenue adaptée, à bien communiquer, et à garder une hygiène irréprochable. Enfin, rappelez-vous que le consentement (le vôtre et celui de l’autre) est toujours la priorité absolue.

Le dry humping est-il réservé aux jeunes ou aux débutants ?

Pas du tout. Il s’adresse à tout le monde, à tout âge et à toute étape de la découverte sexuelle. Il peut même raviver la flamme dans un couple de longue date ou permettre de varier les plaisirs lors d’une période (grossesse, post-partum…) où la pénétration n’est pas souhaitée.

Est-ce normal de ne pas aimer, ou de préférer d’autres pratiques ?

Évidemment ! La sexualité – et le plaisir – sont personnels, évolutifs, modulables à l’infini. Si le dry humping ne vous parle pas, ne forcez rien. L’important, c’est d’être en accord avec vous-même… et parfois, de tester pour mieux savoir ce qu’on aime (ou pas).

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Mewing : mythe ou vraie méthode pour améliorer sa mâchoire naturellement ?

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Vous en avez sûrement entendu parler sur Instagram ou TikTok : le mewing. Cette fameuse technique qui promet une mâchoire plus dessinée, un visage rééquilibré et un profil transformé, le tout sans bistouri. Mais derrière les filtres et les success stories, que vaut vraiment cette méthode ? Est-ce une astuce miracle ou juste un effet de mode qui finira par rejoindre le tiroir des gadgets inutiles ?

Mewing : entre promesses et réalité

Comment est né le concept du mewing ?

Parfois, il suffit de tomber sur une vidéo de dix secondes pour remettre tout en question : posture, respiration, et même notre manière de placer la langue… C’est exactement ce qui m’est arrivé le soir où j’ai découvert le mewing, lovée dans mon canapé avec mon chat (qui, lui, n’a pas l’air de se soucier de la ligne de sa mâchoire !).

Le mewing est issu des travaux du Dr John Mew et de son fils Mike, deux orthodontistes britanniques qui, depuis les années 70, prônent l’orthotropie : l’idée que la position de la langue et la posture du visage peuvent influencer la croissance des os faciaux chez les enfants… et même, avec de l’assiduité, la forme du visage chez les adultes.

La base du meowing ? Placer la langue contre le palais, la bouche fermée, la mâchoire détendue, respirer par le nez, et tenir ainsi le plus souvent possible. D’après les adeptes, cette (petite ?) gymnastique faciale sculpterait peu à peu la mâchoire et affinerait le bas du visage.

Mais alors, info ou intox ? C’est ce que nous allons voir ensemble, en toute bienveillance… et avec un brin d’humour (sinon, c’est beaucoup moins drôle).

Mewing et réseaux sociaux : pourquoi cet engouement soudain ?

Il suffit de taper « technique mewing » ou « amélioration de la mâchoire naturellement » sur les réseaux pour tomber sur des avant/après à faire pâlir n’importe quelle crème miracle. Ces vidéos jouent sur notre envie de « renouveau », ce réflexe quasi universel de vouloir changer un détail de notre apparence – que l’on soit en âge de faire ses devoirs ou de coacher ses enfants (clin d’œil à toutes les mamans multitâches ici).

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La promesse est alléchante : obtenir un visage affiné, une meilleure posture buccale, éviter la chirurgie, et tout cela sans dépenser un centime. J’avoue, moi aussi j’ai eu envie d’essayer, ne serait-ce que par curiosité (et, soyons honnête, parce qu’après avoir croisé mon reflet après une mauvaise nuit, je veux bien croire aux miracles).

Comprendre le mewing : postures, consignes et enjeux

La bonne posture à adopter (et erreurs courantes)

Si vous voulez tenter l’expérience, voici les étapes principales du mewing :

  • Posez la langue entière contre le palais, surtout la partie arrière. Ne l’écrasez pas trop, restez détendu(e).
  • Gardez les dents légèrement en contact (sans serrer fort).
  • Fermez la bouche, sans forcer.
  • Respirez uniquement par le nez.
  • Tenez la posture plusieurs minutes, idéalement le plus souvent possible dans la journée.

Facile ? Pas tant que ça. Je me souviens que le premier jour, j’ai tout fait de travers. J’ai même eu mal à la mâchoire après quinze minutes. Si vous vous reconnaissez, rassurez-vous, c’est normal. On n’a pas tous la discipline d’un moine tibétain… surtout quand un enfant surgit pour réclamer un goûter !

Mewing et santé bucco-dentaire : ce que dit la science

D’après la communauté médicale, il n’existe aujourd’hui aucune preuve scientifique solide prouvant que le mewing permettrait réellement de remodeler la mâchoire ou d’éviter une chirurgie orthognathique. Plusieurs orthodontistes alertent même sur la prudence à adopter : l’influence de la posture linguale est bien reconnue chez l’enfant en croissance, mais chez l’adulte, les effets seraient minimes, voire inexistants.

En revanche, l’intérêt du mewing peut se situer au niveau de la rééducation respiratoire et posturale. Apprendre à respirer par le nez, corriger sa posture, détendre sa mâchoire… tout cela favorise un mieux-être global, améliore la qualité du sommeil, et limite certains troubles (apnée du sommeil, ronflement, etc.).

Mais soyons très clair : si vous cherchez à sculpter vos joues à la façon d’une statue grecque, mieux vaut ne pas placer trop d’espoirs dans cette seule technique.

Les promesses miracles : info ou intox ?

Sur papier (ou plutôt sur écran), le mewing coche (presque) toutes les cases du rêve : solution naturelle, peu coûteuse, accessible à tous, sans effet secondaire. Mais, au risque de doucher l’enthousiasme général, la plupart des témoignages « spectaculaires » circulant sur TikTok ou Instagram peuvent difficilement être vérifiés. Les effets visibles seraient principalement dus à la perte de poids, à l’âge ou… à la magie du maquillage et de la lumière.

Oui, des résultats minimes à long terme sont possibles, notamment si la posture linguale était franchement désorganisée auparavant – mais ces transformations ne remplaceront jamais un accompagnement médical adapté, ou un traitement orthodontique sérieux.

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Quels sont les risques ou limites du mewing ?

Alors que beaucoup voient dans le mewing une alternative douce à la chirurgie esthétique, il est important de rappeler les risques potentiels :

  • Douleurs ou tensions musculaires : une posture incorrecte ou maintenue de façon excessive peut entraîner des douleurs à la mâchoire, à la nuque, voire des maux de tête.
  • Effets psychologiques : certains adeptes développent une obsession de la transformation, source de frustration ou de perte d’estime si les résultats attendus ne sont pas au rendez-vous.
  • Retard de diagnostic : croire à une solution « miracle » peut retarder une vraie prise en charge médicale (orthodontie, kiné oro-faciale, etc.).
  • Controverses professionnelles : il faut aussi noter que Mike Mew, l’un des promoteurs du mewing, a été sanctionné pour absence de fondements scientifiques dans ses méthodes. Toujours bon à savoir avant de se lancer tête baissée.

Un conseil issu de mon expérience perso : si une astuce bien-être implique douleurs chroniques ou malaise, c’est que ce n’est pas la bonne solution pour vous. Faites toujours passer l’écoute de votre corps avant les modes du moment (même si elles font le buzz).

Les alternatives naturelles pour valoriser sa mâchoire (et tout son visage !)

Yoga facial, auto-massages et posture : les alliés du quotidien

Alors, faut-il tout jeter ? Bien sûr que non ! Je crois profondément à la puissance des petites habitudes, répétées jour après jour. Plutôt qu’une obsession pour la ligne mandibulaire, pourquoi ne pas explorer d’autres options qui contribuent au mieux-être général ?

  • Yoga du visage : quelques exercices doux réveillent la microcirculation et tonifient naturellement l’ovale du visage.
  • Auto-massages : j’utilise parfois une pierre de jade froide au réveil,
    ou, plus localement, je masse le contour de la mâchoire pour dénouer les tensions. C’est comme offrir un petit spa à sa peau… et ça détend vraiment.
  • Travail postural global : n’oublions pas que la mâchoire est intimement liée à notre posture cervicale, à la colonne et à la nuque. J’ai remarqué chez mes élèves de yoga que quelques minutes d’étirement chaque jour font parfois plus de différence que n’importe quelle technique virale.

Envie d’une routine à essayer tout de suite ? Je vous partage ma favorite pour se recentrer en deux minutes chrono :

  1. Assis(e) bien droit(e), les pieds ancrés au sol, relâchez les épaules.
  2. Inspirez profondément par le nez tout en plaçant la langue contre le palais.
  3. Expirez lentement, en posant la main sur votre menton pour sentir la détente.
  4. Répétez six fois. Profitez-en pour sourire, même si personne ne regarde !

Comparatif des solutions pour améliorer l’apparence de la mâchoire

Solution Naturelle / Médicale Accessibilité Prix indicatif Résultats attendus Risques / Limites
Mewing Naturelle Gratuite 0 € Minimes à moyens, variables selon l’âge et les habitudes Effets non garantis ; douleurs si mal exécuté
Yoga du visage Naturelle Facile
(avec tutos ou prof)
0 à 20 € (livret ou accessoire) Peau tonifiée, meilleure circulation, détente Résultats progressifs, patience requise
Chirurgie orthognathique Médicale Clinique spécialisée 2000 à 10 000 € (selon acte) Résultats visibles et spectaculaires Opération lourde, risques et convalescence
Orthodontie adulte Médicale Sur prescription 2000 à 7000 € Alignement dentaire, impact esthétique parfois important Durée longue, coût élevé
Auto-massages Naturelle Très facile 0 à 40 € (accessoires type gua sha) Détente, drainage, éclat de la peau Pas de modification osseuse
Aperçu comparatif des solutions pour affiner la mâchoire : efficacité, accessibilité, budget, et limites de chaque méthode.

Finalement, comment prendre soin de sa mâchoire… et de son estime de soi ?

Vous vous demandez sans doute : alors, j’y crois ou pas au mewing ? Comme souvent, la réponse est nuancée. S’il ne coûte rien d’essayer d’améliorer sa posture linguale (à condition de rester à l’écoute de son corps), il ne faut pas oublier l’essentiel : ce n’est pas une mâchoire redessinée qui apporte confiance ou paix intérieure — mais un regard bienveillant posé sur soi.

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Je me surprends parfois à sourire devant la glace, même après une journée épuisante. Parfois, je rêve d’un visage parfaitement symétrique. Mais chaque ride, chaque singularité font partie de notre histoire.

Si vous souhaitez agir pour votre beauté ou votre santé, privilégiez toujours une approche globale : alimentation équilibrée, sommeil réparateur, activités qui font sens (le yoga reste mon pilier, mais chacun sa passion !). Et si le sujet vous intrigue encore, parlez-en à votre dentiste ou à un professionnel de santé – il n’existe pas de honte à chercher un conseil éclairé.

Et vous, quelle est votre astuce pour prendre soin de votre visage ou de votre confiance en vous ? Je serais ravie de lire vos anecdotes ou de répondre à vos questions ci-dessous. On avance ensemble, pas à pas !

FAQ : tout savoir sur le mewing et la mâchoire

Qu’est-ce que le mewing, concrètement ?

Il s’agit d’une technique censée remodeler la mâchoire par la posture de la langue : on pose la langue contre le palais, on garde la bouche fermée, et on respire par le nez. Ce réflexe, à répéter le plus régulièrement possible, aurait des effets sur l’alignement du visage et la tonicité musculaire – du moins, selon les partisans.

Peut-on vraiment améliorer la forme de sa mâchoire adulte avec le mewing ?

Chez l’enfant en croissance, la posture linguale joue un rôle ; chez l’adulte, les os sont bien formés, donc l’effet du mewing reste marginal. Quelques changements mineurs sont possibles sur la posture ou la respiration, mais ne comptez pas sur une métamorphose spectaculaire.

Quels sont les avantages secondaires du mewing ?

Parmi ses effets positifs : une meilleure respiration nasale, la décontraction de la mâchoire, ou une prise de conscience corporelle. Certaines personnes ressentent aussi une réduction de leurs tensions cervicales.

Y a-t-il des risques liés à la pratique du mewing ?

Maintenir une mauvaise posture linguale ou forcer trop longtemps peut créer des douleurs temporaires, des gênes dans la mâchoire, voire accentuer des troubles préexistants. En cas d’inconfort, arrêtez et consultez : mieux vaut prévenir que guérir.

Comment savoir si cette méthode me convient ?

Essayez-la quelques jours, de façon raisonnée, en restant attentif(ve) aux signaux de votre corps. Si vous ressentez du bien-être (et non de la douleur), tant mieux. En cas de doute, faites toujours appel à un professionnel – surtout si vous visez un changement esthétique important.

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À quoi sert la ficelle de chanvre au quotidien ?

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Imaginez une bobine toute simple, couleur sable, posée sur la table de la cuisine. Voilà un objet que j’ai longtemps sous-estimé : la ficelle de chanvre. Si je vous disais que, chez nous, elle a déjà réparé un jouet, emballé un cadeau, susp­endu un pot à la terrasse… et même, apaisé quelques petits maux ? Eh oui, ce fil naturel a sa petite place dans mon tiroir à trésors depuis des années. C’est l’alliée discrète d’un quotidien un peu plus écologique, créatif et même bien-être. Alors, à quoi sert vraiment la ficelle de chanvre ? Et pourquoi s’invite-t-elle de plus en plus dans nos maisons (et nos jardins…) ? Allez, je vous embarque pour un tour d’horizon tout en douceur – et en fil naturel !

Table des matières

Pourquoi la ficelle de chanvre revient (enfin) sur le devant de la scène ?

Retour à l’essentiel : une histoire de fibre naturelle

Ce n’est pas qu’une mode bohème : le chanvre fait partie de ces plantes que l’on utilisait déjà « avant », quand la vie s’inventait plus simple et que l’on privilégiait le durable sans le savoir. La ficelle de chanvre, c’est une fibre végétale issue de la tige du chanvre industriel, tressée pour la solidité, l’élasticité et un toucher si particulier. Depuis quelques années, elle réapparaît dans nos maisons, portée par l’élan écologique. Rien que lorsque je déballe une pelote, son parfum végétal m’évoque les étals des marchés ou les souvenirs d’ateliers bricolage à l’école primaire – vous aussi, vous aviez ce goût de « naturel » enfant ?

Le problème : trop de synthétique, pas assez de durable

On ne compte plus les fils en plastique : pour la déco, le jardin ou l’emballage, le choix semble souvent facile… jusqu’à ce que l’on réalise que ces ficelles finissent (un jour ou l’autre) à la poubelle, parfois dans la nature. Leur impact environnemental ? Pas génial. Pire encore, elles peuvent s’effilocher, casser, voire relarguer des microplastiques dans la terre du potager… Voilà pourquoi je me suis mise à chercher des alternatives plus saines et responsables.

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La ficelle de chanvre comme solution éthique et polyvalente

C’est là que la ficelle de chanvre entre en jeu. Elle coche beaucoup de cases : matière renouvelable, biodégradable, non traitée ou à peine. Côté usage, elle ne manque pas de ressources, comme une bonne amie que l’on découvre sous un nouveau jour à chaque saison… Petite anecdote – il y a deux hivers, j’ai retrouvé une bobine oubliée sur le balcon. Il avait neigé : la ficelle était encore là, solide et (à peine) patinée, prête à servir !

Décoration intérieure : la touche chaleureuse et authentique

Créer une ambiance naturelle et tendance

Ce qui me plaît le plus ? Sa capacité à transformer n’importe quel objet du quotidien en pièce déco. Avec un simple rouleau, vous pouvez métamorphoser un vase, customiser une suspension, ou tisser une jolie tapisserie bohème en mode DIY. J’ai même vu des appliques murales tressées de ficelle lors d’une balade au marché de créateurs d’Annecy : la lumière filtrée à travers cette maille irrégulière, c’était magique !

Quelques idées déco faciles à réaliser

  • Tenture murale ou macramé : aucun besoin d’être expert, quelques nœuds suffisent à créer une suspension chaleureuse.
  • Abat-jour naturel : enroulez la ficelle autour d’une ancienne structure métallique pour une lumière douce et tamisée.
  • Paniers suspendus pour plantes : testés et approuvés pour mes petits pots aromatiques dans la cuisine.
  • Bougies « habillées » : tournez la ficelle autour d’un photophore en verre, effet cocoon garanti.
  • Emballages cadeaux zéro déchet : un peu de tissu, un brin de chanvre, et l’émerveillement dans les yeux de celui qui reçoit !

Comme quoi, la décoration naturelle, c’est souvent un jeu d’enfant. Et quand les enfants participent, je vous assure, c’est doublement déco (et doublement amusant…).

Jardinage : l’alliée des plantations heureuses

Pourquoi choisir la ficelle de chanvre au jardin ?

Dans le potager ou même sur le balcon, j’ai longtemps utilisé des attaches en plastique, comme beaucoup… Jusqu’à ce que je remarque qu’en fin de saison, elles restaient plantées là, bien plus coriaces que mes plants de tomates ! La ficelle de chanvre a résolu ce souci en un clin d’œil. Elle se décompose naturellement dans la terre, ne pollue pas, et n’empêche pas la plante de respirer.

Applications pratiques au jardin : méthodes et astuces

  1. Tuteurage de plants : tomates, petits pois, haricots… Elle soutient sans étrangler. Astuce : ajustez la tension autour de la tige, façon « garde du corps » végétal.
  2. Palissage des grimpantes : la ficelle guide les pousses sans les blesser, contrairement au fil synthétique parfois coupant.
  3. Suspension de bouquets séchés : je noue mes bouquets de lavande pour parfumer la maison (et chasser les moustiques l’été… expérience garantie, même si la lavande n’a pas protégé mes mollets contre les orties !).
  4. Marquage naturel : délimitez vos rangs de semis sans ajouter de plastique.
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Effet bonus : si, comme moi, vous appréciez une balade les mains dans la terre après une journée bien remplie, attacher les dernières pousses avec cette ficelle donne l’impression de renouer avec un savoir-faire oublié.

Bien-être et petits remèdes de grand-mère

Traditions populaires et soulagement articulaire

Parmi les croyances transmises, celle-ci m’a toujours intriguée (et j’ai fini par l’essayer – curiosité oblige). Dans les campagnes savoyardes, il était courant d’enrouler une ficelle de chanvre autour du poignet ou du genou douloureux, censée apaiser les rhumatismes. Est-ce la magie du rituel ? Le doux contact sur la peau ? Ou simplement l’attention que l’on s’accorde ? Je ne prétends pas remplacer votre médecin, mais ce petit geste, associé à un massage à l’huile essentielle de lavande (ma préférée…), m’a déjà apporté un vrai soulagement après une randonnée un peu intense dans les Bauges.

Bienfaits psychologiques : le pouvoir du geste

Au-delà de l’effet purement physique, il y a tout un symbolisme dans l’acte de nouer une ficelle. Ce « lien » que l’on crée avec soi-même, une manière de matérialiser l’attention portée à son corps : un geste simple, mais qui ramène à soi. Je dirais que, parfois, prendre soin de ses douleurs, c’est aussi les regarder avec bienveillance.

Emballages écologiques et consommation responsable

Papeterie, cadeaux, organisation : des alternatives zéro déchet

Je dois l’avouer : je fais partie de ces personnes qui conservent les plus beaux papiers cadeaux… et qui pestent contre les rubans synthétiques qui finissent par s’effilocher partout. Depuis quelques années, la ficelle de chanvre a remplacé rubans et scotch dans nos paquets. Écologique et esthétique, elle se marie avec du papier kraft, des tissus récupérés ou même un joli carton décoré à la main par mes enfants.

Comparatif : ficelle de chanvre vs alternatives classiques

Type de ficelle Écologique Biodégradable Prix moyen (€/10 m) Résistance Usages conseillés
Chanvre Oui Oui 1 – 2 € Élevée Déco, Jardinage, Emballage, Remèdes traditionnels
Jute Oui Oui 1 – 1,50 € Moyenne Déco, Jardinage
Synthétique (polypropylène) Non Non 0,50 – 1 € Très élevée Colis, Attache lourde
Coton Oui (si bio) Oui 2 – 3 € Moyenne Déco, Art culinaire
Tableau comparatif : Ficelle de chanvre et alternatives selon leur impact écologique et leur usage quotidien.

Et pour parler vrai : la ficelle de chanvre a ce petit supplément d’âme. Elle vieillit joliment, ne file pas à la poubelle au bout d’un usage, et ajoute une touche réconfortante aux gestes quotidiens.

La ficelle de chanvre au quotidien : astuces et rituels personnels

Organisation, loisirs créatifs, petits bricolages

La vie de famille offre mille occasions d’utiliser de la ficelle de chanvre (et de se retrouver avec des bouts collés un peu partout, surtout avec deux enfants créatifs à la maison !). Nous l’utilisons pour :

  • Marquer les clés ou sacs d’école, grâce à des étiquettes homemade attachées d’un simple nœud.
  • Fabriquer des guirlandes de photos lors des anniversaires (clin d’œil à l’effet rétro que l’on adore).
  • Tisser des petites scoubidous à offrir… ou à garder comme porte-bonheur.
  • Remplacer le bolduc sur les cadeaux de Noël : la simplicité fait souvent sensation.
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Et si, franchement, vous vous retrouvez à tirer sur un embout qui s’effiloche… souriez, c’est que la matière est vraiment naturelle. (Ce qui m’arrive régulièrement, entre deux batailles de coussins !)

Petite idée bonus : routine bien-être express

Besoin d’un moment pour souffler ? Prenez cinq minutes, un bout de ficelle de chanvre, et testez ce rituel original : respirez profondément tout en nouant la ficelle autour de votre poignet, en émettant une intention (calme, énergie, gratitude…). Ce n’est pas magique, mais c’est un moyen tout simple de s’offrir une pause, de matérialiser un petit engagement envers soi. J’ai inventé ce rituel un matin particulièrement chaotique… et devinez quoi ? Je le réutilise (presque) chaque rentrée scolaire.

Et si on réinventait le quotidien, un fil après l’autre ?

La ficelle de chanvre, c’est ce petit détail qui allie nature, créativité et conscience écologique. Peut-être qu’elle ne va pas révolutionner votre existence du jour au lendemain — mais elle sème des micro-changements : moins de plastique, plus de naturel dans les projets familiaux, un geste de soin glissé dans la routine… Parfois, c’est à travers ces petits riens que la vie retrouve sa saveur.

À vous maintenant de jouer… La prochaine fois qu’une bobine de ficelle de chanvre croisera votre chemin, posez-vous la question : comment aimeriez-vous l’utiliser ? Pour quel projet, quel cadeau, ou quel petit rituel personnel ? Je serais ravie de lire vos idées et vos souvenirs en commentaire ! Continuons à partager ces astuces pour « tisser » ensemble un quotidien plus doux et respectueux.

FAQ : Vos questions sur la ficelle de chanvre

Quelles sont les utilisations courantes de la ficelle de chanvre ?

Vous pouvez l’utiliser pour la décoration intérieure (tapis, abat-jour, suspensions), au jardin (attacher ou palisser les plantes), pour emballer des cadeaux de façon écologique, ou même, selon la tradition, pour apaiser certains maux articulaires. Elle dépanne aussi pour bricoler, organiser, ou personnaliser des objets du quotidien.

La ficelle de chanvre est-elle vraiment biodégradable ?

Oui ! 100 % naturelle, elle se décompose dans la terre sans polluer l’environnement. Un atout majeur lorsqu’on cherche à réduire le plastique à usage unique.

Est-il vrai qu’on peut l’utiliser contre les douleurs articulaires ?

La tradition veut qu’on enroule la ficelle autour de la zone douloureuse pour la soulager. Même si cela ne remplace pas un avis médical, ce geste, accompagné de bienveillance, peut être réconfortant. À tester en complément des traitements classiques si cela vous parle…

Comment reconnaître une ficelle de chanvre de qualité ?

Elle doit être un peu rêche au toucher, sentir une odeur végétale, avoir une couleur beige clair ou sable. Evitez les pelotes trop brillantes ou parfaitement lisses, souvent mélangées à des fils synthétiques (le naturel, ça se voit, et ça se sent !).

Où se procurer de la ficelle de chanvre ?

Vous en trouverez dans les magasins de bricolage, jardineries, certains supermarchés bio, ou en ligne sur des boutiques spécialisées dans l’artisanat ou les produits zéro déchet. Si possible, privilégiez une fabrication française ou européenne !

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